Handicap, la Corée du Sud traîne la patte

Handicap, la Corée du Sud traîne la patte

Près de 5 % des Sud-Coréens ont un handicap, physique ou mental. Mais que ce soit dans les transports en commun, dans les logements ou même à l’école, rien n’est fait pour les intégrer. Malgré des décennies de lutte associative, les personnes handicapées peinent encore à vivre dans un pays qui semble les avoir oubliés.

Allô Pyongyang, ici Paris

Allô Pyongyang, ici Paris

La France et la Corée du Nord n’entretiennent officiellement aucunes relations diplomatiques. Pourtant, de part et d’autre, des diplomates, des associations, des organisations et même une délégation nord-coréenne à Paris œuvrent pour un rapprochement. Et cela, dans des domaines jugés « peu risqués », comme la culture ou l’éducation.

La jeunesse coréenne veut sortir de l’enfer

La jeunesse coréenne veut sortir de l’enfer

Depuis octobre 2016, les manifestations massives contre la présidente coréenne Park Geun-Hye ont révélé,  aux yeux du reste du monde, les problèmes du pays. Les dernières péripéties ne font que mettre en relief les affaires de corruption que n’acceptent plus les Coréens. Les jeunes sont les plus en colère. Ils sont nombreux à se déplacer chaque week-end. Grands oubliés des politiques publiques, pour eux, le casse tête des fins de mois difficiles se transforme vite en enfer.

En Corée du Sud, des chamanes et des dieux

En Corée du Sud, des chamanes et des dieux

Certains dieux ont l’oreille dure. Au cœur des montagnes coréennes, les voix des chamans s’élèvent au rythme du tambour. Mais elles ne suffisent pas à secouer les divinités. Il faut danser en agitant des clochettes, frapper des bols en cuivre, battre un disque en étain. Le vacarme du métal doit assourdir les hommes pour réveiller les esprits.