Collection d’été, Culture
Tout est culture : le patrimoine, le streetart, la photo, le jeux et même les mathématiques. A une heure de Paris, Tours ville culturelle par excellence, profite aussi des richesses de la capitale.
Tout est culture : le patrimoine, le streetart, la photo, le jeux et même les mathématiques. A une heure de Paris, Tours ville culturelle par excellence, profite aussi des richesses de la capitale.
Le secteur français du tatouage est en plein essor et le métier n’est plus marginal. Pourtant, les tatoueurs ne disposent toujours pas d’un statut professionnel. La faute au conflit qui oppose les deux plus puissantes associations du métier, le Snat et Tatouage & Partage.
Les arts divinatoires ont constitué au fil du temps un secteur professionnel nébuleux en France. Échappant à la régulation des autorités publiques, la voyance en France laisse le champ libre à des instances comme l’Inad. Ce dernier veut poser et imposer les règles du jeu.
Lauréate du Prix Levallois 2019, elle a participé au Paris Photo Fair 2022. Sara Imloul occupe une place unique dans le monde de la photographie.
Pendant les confinements, librairies, théâtres et salles de musique ont dû fermer leurs portes. Cet été, nombre des festivals ont été annulés. Ce qui n’est pas sans conséquences sur la vie et sur l’économie des villes et régions concernées. Magazin republie cette semaine une enquête sur le poids des festivals en région. Leur survie est essentielle pour la vie culturelle mais aussi économique des territoires.
La place de la culture dans le parcours de réinsertion est souvent reléguée au second rôle. Pourtant, les activités sont l’occasion de changer d’horizon, de faire des rencontres et d’acquérir de nouvelles compétences.
Le Festival du film de fesse se tient à Paris jusqu’au 30 juin. Il prône un cinéma érotique beau, esthétique, intelligent et pourquoi pas drôle. A ces termes, le porno féministe ajoute l’éthique : respect de l’égalité homme/femme, conditions de travail décentes, etc. Mais dans ces conditions, difficile de faire sa place dans l’industrie du X.
A partir de l’enquête de Joséphine de Rubercy, Margaux Masson et de Ariel Ponsot, étudiants en journalisme à l’EPJT, Meliné Odabachian, élève de l’Académie Brassart-Delcourt a imaginé cette histoire.
Le monde du jazz peine à ouvrir ses portes aux femmes. Déjà rares dans ce milieu d’hommes, elles le sont encore plus derrière les instruments. Après plus d’un siècle d’exclusion, un changement semble enfin s’amorcer.
Il y a du business dans l’air. Désormais très convoitées, les œuvres de street-art se vendent à prix d’or. Les collectionneurs se ruent sur ce nouveau marché et les collectivités multiplient les partenariats avec les artistes. Rebelle, irrévérencieux, l’art urbain côtoie les hautes sphères de la société. Quitte à trahir l’esprit originel.