Des maux à panser
Ukraine, Israël, Gaza… Ces conflits rappellent que pour les professionnels de l’information qui les couvrent, les risques sont majeurs. Mais il y a aussi des blessures que l’on ne voit pas. Des traumatismes qui marquent à vif ceux qui rapportent les témoignages de la guerre. Si le sujet a longtemps été tabou au sein des rédactions françaises, la question du suivi psychologique fait doucement son chemin.