Garants d’une information claire, concise et juste, les secrétaires de rédaction sont des mains essentielles à la fabrication du journal. Photo : Amel Zaki/EPJT
À l’école de l’humilité et de la rigueur, nous demandons les secrétaires de rédaction. Ces journalistes endossent, chaque jour, la responsabilité de sortir un journal clair, compréhensible et visuellement équilibré. Ils assurent également la scénarisation de l’information sur le Web. Ces dernières années, leur charge de travail a augmenté et leur métier beaucoup évolué.
Par Amel Zaki
Mais saviez-vous qu’ils avaient aussi pour point commun d’avoir été secrétaires de rédaction ? Dans les imaginaires collectifs, le journaliste est un aventurier, un casse-cou à qui l’on donne rendez-vous dans des parkings sombres pour lui fournir des documents confidentiels qui feront les choux-gras des médias et qui passe sa nuit à écrire un article qui paraît, par la grâce du saint esprit, dans le journal du lendemain, livré dans les kiosques au petit matin.
Dans la réalité, cela ne se passe pas exactement comme ça. Jérôme Balazard, chef d’édition à Libération, se désole du décalage par rapport à la réalité en prenant deux exemple : le film Jeux de pouvoir (2009) qu’il oppose à un épisode de la cinquième saison de la série The Wire (2008).
Les secrétaires de rédaction sont les mains essentielles à la parution d’un journal. Ils relisent, réécrivent parfois, les articles envoyés par les rédacteurs, vérifient les informations et rédige la titraille : les titres donc, mais également les chapôSous-titre introductif d’un article., les intertitres, les citations en exergue, etc. Ils veillent à ce que l’article soit cohérent avec l’angle choisi, à ce que la charte typographique du journal soit respectée. Ensuite, ils coulent les articles dans la maquette et s’assurent qu’il n’y a pas d’erreur de calageOpération qui consiste à glisser du texte dans la maquette du journal puis à s’assurer qu’il entre bien dans l’espace défini au préalable en l’ajustant si besoin..
Selon les rédactions, ils peuvent également être amenés à récupérer le travail du correcteurIl y a de moins en moins de services de correction dans les journaux de presse quotidienne nationale. Chez Libération par exemple, il n’y en a plus depuis 2008., à construire les pages du journal (moins fréquent dans les quotidiens nationaux qui disposent, pour la majorité, d’une direction artistique qui se charge de ce travail).
Trop peu de recherches sur la fonction de SR
Premiers lecteurs ou derniers journalistes avant publication, les SR pâtissent souvent d’un manque de (re)connaissance de leur travail. Selon Nicolas Robert, secrétaire de rédaction en presse quotidienne régionale durant huit ans, aujourd’hui scénariste et enseignant à l’École de journalisme de Grenoble, « le métier gagnerait à être plus connu. Le SR souffre de l’image qu’on peut en avoir. Trouver un bon rédacteur, c’est facile. Mais trouver un bon SR, c’est plus compliqué ».
La méconnaissance de cette profession tient à plusieurs paramètres. Le premier : « Il n’existe que très peu de travaux de recherches sur le processus de fabrication de l’information », écrit Denis Ruellan dans Le journalisme ou le professionnalisme du flou (Presses universitaires de Grenoble, 1993). À l’inverse de la fabrication et du traitement de l’information ou de la construction de l’événement, qui sont des thèmes largement abordés par les historiens ou les sociologues des médias.
D’autres paramètres entrent en compte, comme le manque de transparence sur le fonctionnement des rédactions, la mise en avant du journaliste reporter. Pour celui-ci, l’essence du métier est d’être sur le terrain, à l’inverse du secrétaire de rédaction, plus aisément qualifié de « journaliste assis », ou de « journaliste de bureau ».
Pourtant, dans les quelques ouvrages et publications sur le sujet, le SR a rapidement été présenté comme une personne incontournable de la rédaction. « Le bras droit du rédacteur en chef, […] l’homme le plus occupé du journal » et une « cheville ouvrière », selon Emile Tanneguy de Wogan dans le Manuel des gens de lettres (Firmin-Didot et Cie,1899).
Une baisse considérable des effectifs
Il est « l’homme de confiance de la direction », pour l’historien Marc Martin (Médias et journalistes de la République, Odile Jacob, 1997). En somme, il a « l’esprit toujours en éveil et l’œil à tout, ne pouvant se donner un instant de répit tant qu’il n’a pas mené à bien ses multiples occupations », note Vincent Jamati dans Pour devenir journaliste. Comme se rédige et s’administre un journal (J. Victorion, 1906).
Bien que le métier ait évolué au gré des innovations des technologies de l’information et de la communication, ces descriptions sont encore, à des degrés plus ou moins élevés, toujours d’actualité pour qualifier les secrétaires de rédaction.
Aujourd’hui, la Commission de la carte d’identité des journalistes professionnelsInstance chargée de délivrer la carte de presse est l’une des seules instances à pouvoir fournir des données chiffrées sur cette profession aujourd’hui. De 2000 à 2019, le nombre de secrétaires de rédaction en presse quotidienne nationale passe de 220 à 323. À l’échelle de toutes les publications confondues, leur nombre passe, lui, de 3 358 à 2 840. Une baisse considérable qui s’explique par la précarisation du métier de journaliste et une conjoncture économique difficile pour la presse écrite, avec une baisse générale des tirages, des ventes, l’avènement du numérique accompagné d’une révolution des usages.
L’augmentation du nombre de secrétaires de rédaction en presse quotidienne nationale sur cette période peut sembler surprenante, mais elle s’explique par l’apparition progressive d’une nouvelle terminologie, qui semble absorber des missions plus larges que celles du secrétaire de rédaction classique : l’éditing. Au sein des rédactions comme Le Monde, Libération (où il y a encore des SR), ou L’Équipe, les éditeurs assurent depuis plusieurs années plus que la simple construction du journal papier.
Lorsqu’ils sont bimédia – c’est-à-dire éditeurs du journal papier et du web –, ils animent le site web, hiérarchisent et actualisent la homepage (page d’accueil), la constitution des newsletters, rédigent et lancent les notifications push (qui vont vers le lecteur de façon automatisée). Ils sont néanmoins parfois aidés ou exemptés de ces tâches d’animation des différents supports par les « front page editor ».
Une édition à l’américaine
À L’Équipe, ces tâches incombent par exemple aux chefs d’édition et leurs adjoints. « Nous avons un site qui bouge beaucoup, explique ainsi Grégory Blachier, chef d’édition adjoint à l’Omnisports (tout ce qui n’est pas foot). Lorsqu’un rédacteur anime un live, je suis chargé de mettre en avant le match et d’actualiser à chaque événement. Je change la photo, le titre, les liens, revois la hiérarchie s’il y a une autre grosse actualité… » Fort de deux services d’édition, le journal spécialisé dans le sport compte dans ses rangs une quarantaine d’éditeurs.
Même son de cloche chez Libération, pour qui l’édition est un « service extrêmement fort, depuis assez longtemps », assure Jérôme Balazard, chef d’édition au sein du journal. « Dans les années quatre-vingt-dix, un directeur adjoint de la rédaction, Dominique Pouchain, décide d’organiser l’édition à l’américaine. Avec Serge July, ils visitent des rédactions américaines, regardent comment c’est organisé et décident de faire un copy desk version Libé. Il y a beaucoup de gens embauchés à cette époque-là », raconte-t-il.
Cette réorganisation accentue le style Libération, avec des titres et un éditing fort et percutant. L’édition actuelle en est un héritage. « Cela doit être l’un des deux ou trois plus gros services de Libération, avec une trentaine de personnes qui le composent. Le jeu chez nous, c’est que l’éditeur qui récupère un papier a vraiment la pleine confiance du rédacteur. Un papier n’est quasiment jamais livré avec un titre », ajoute Jérôme Balazard.
Le chemin de fer est une représentation visuelle de ce que va contenir le journal, page par page. Il montre l’organisation et la hiérarchisation du circuit de la copie. Photo : Amel Zaki/EPJT
Les éditeurs et les secrétaires de rédaction de Libération sont centralisés : c’est-à-dire qu’ils peuvent être amenés à éditer les papiers de toutes les séquences du journal, sauf pour les pages dites « froides » ou celles du journal du week-end. Au Monde, en dehors de l’édition centrale constituée de la cheffe de l’édition et de ses adjoints, et le service d’édition des suppléments, les éditeurs sont distribués sur les grands services du journal : International, France, Économie, Culture et le central froid (chargé des pages Idées et débats, Horizons, des analyses, chroniques, etc.). A L’Équipe, l’édition est scindée en deux : l’une s’occupe exclusivement du football, l’autre de l’omnisports. Mais dans ces trois rédactions, un grand point commun : l’édition est bi-média.
Une organisation différente du Figaro donc, où les éditeurs web du service PremiumComprendre l'édition web. sont séparés des SR du journal papier. « Les deux services sont très différents et ne communiquent presque pas », abonde Natacha Zimmermann, rédactrice puis éditrice de 2018 à 2020 au journal, désormais éditrice au Monde.
Une organisation héritée de l’époque où le numérique n’existait pas dans les rédactions. « Les SR du Figaro étaient pour la plupart d’anciens ouvriers du livre », précise la jeune femme. Une chasse-gardée et des tensions qui laissent paraître deux poids deux mesures vis-à-vis de l’importance donnée au journal papier et au numérique. « Nous ne faisions que très peu d’édition pour les articles seulement publiés sur le site. Je dirais qu’on en éditait peut-être 5 % ou 10 % sur la totalité. »
Un circuit de la copie réduit qui peut expliquer des fautes factuelles, d’orthographe, un manque d’uniformisation et des fautes typographiques qui rendent un texte moins lisible et moins compréhensible.
Je comprends pas que la typographie soit autant sous côtée, comment vous faites la différence entre le mont Blanc, le Mont-Blanc et le Mont Blanc ?
— Grégoire Orain (@Grgrrn) May 23, 2021
Le numérique, qui a apporté une charge de travail supplémentaire aux SR et/ou aux éditeurs, n’a pas été accompagné par une augmentation significative de recrutements dans ces services. De plus, malgré la stratégie de web firstC’est-à-dire que les contenus sont d’abord pensés pour le web avant d’être pensés pour le journal papier. revendiquée dans beaucoup de rédactions, le numérique ne semble pas autant estimé que le journal papier, car plus éphémère, plus rapide, et facilement modifiable.
« Du côté web, on passe beaucoup moins de temps sur la copie, ce qui est l’un de nos éternels problèmes. Quand tu es SR au printJournal papier , tu vas faire trois papiers dans la journée, car ils sont plus longs, dépendant d’une double page et d’autres papiers. Au web, tu en fais six ou sept par jour », explique Corentin Lacoste, secrétaire de rédaction à Libération.
« On doit toujours [en] faire plus : l’arrivée du web augmente la charge de travail sans que d’autres postes ne soient créés », confirme un(e) journaliste anonyme dans un questionnaire dédié à la place des SR dans les rédactions. « Beaucoup de journalistes aimeraient déjà se passer de l’édition » pour le web, abonde un(e) autre anonyme, tandis qu’un(e) troisième ajoute : « Avec le développement du web, conjugué à la baisse des effectifs, je pense que les rédactions les moins solides ont tendance à demander aux rédacteurs de publier eux-mêmes leurs articles [en ligne], sans passer par un éditeur, pour gagner en rapidité. »
Avoir de la bouteille
Des inquiétudes qui s’inscrivent dans la logique de l’évolution du secrétariat de rédaction. Celle-ci implique pour les SR les plus expérimentés de s’adapter constamment aux nouveaux outils du journalisme. Cela a été le cas pour l’arrivée de la publication assistée par ordinateur (PAO) puis celle du numérique. Puis les réorganisation des rédactions, les nouveaux logiciels, etc. « C’est un métier où il faut savoir évoluer. Mais c’est une chose d’évoluer et c’en est une autre de se voir imposer des changements tout le temps. Pour certains, ça va être leur quatrième mutation en quatre ans. Il y en a qui le vivent mal », remarque Grégory Blachier.
Une gymnastique intellectuelle et une capacité d’adaptation toujours plus forte que l’on demande aussi aux jeunes journalistes qui arrivent sur le marché du travail. Dans un grand nombre de rédactions, les recrutements se font souvent par le biais de l’édition.
Mais pour le chef d’édition omnisports adjoint de L’Équipe, ces recrutements de jeunes journalistes souvent tout juste sortis d’école posent aussi un peu problème. « Pour moi, le boulot d’éditeur, ce n’est pas un boulot que tu fais quand tu ne connais pas les conditions de travail sur le terrain. C’est un boulot que tu connais d’autant mieux quand tu as un peu de bouteille », estime-t-il.
Jérôme Balazard tempère ces propos. Pour lui, l’édition est surtout une école qui répond à un besoin de rigueur. Le SR muscle l’écriture du journaliste de terrain. « Le reportage reste mon premier amour, mais l’édition a été à la fois un choix de raison et une envie de rigueur. Je sentais bien que mon écriture avait besoin d’être un peu resserrée, explique-t-il. Rapidement, on acquiert un savoir technique que les autres n’ont pas […]. En plus, ça permet de mettre du beurre dans les épinards en tant que jeune pigiste. »
Porte d’entrée dans les rédactions
Il n’en reste pas moins que les aspirants journalistes rêvent plutôt de terrain et de reportages que d’un travail de bureau. La représentation qu’ils se font de la fonction de SR n’est pas des plus reluisante. Selon Jérôme Balazard, « la seule façon d’intéresser les jeunes journalistes c’est d’aller dans les écoles et de donner cours. Cette idée de transmission repose sur nous et c’est en grande partie de notre faute si les étudiants ne veulent pas faire d’édition. » Nicolas Robert, intervenant à l’École de journalisme de Grenoble concède qu’il est « difficile de faire prendre conscience aux élèves de l’intérêt de la fonction », d’autant plus lorsque l’on n’a pas été confronté à ce travail.
Aujourd’hui, pourtant, mais cela a toujours été le cas, les services d’édition constituent des portes d’entrées importantes dans les rédactions nationales. Surtout si on compare aux services rédactionnels bouchés, où les journalistes rédacteurs pigistes sont (trop) nombreux. « Je suis toujours très étonné de voir des jeunes journalistes nous demander des stages et se rendre compte, quand ils arrivent, qu’ils n’ont qu’une idée extrêmement approximative de ce qu’est le SR. Et là, je parle de gens en deuxième année de master, qui sont sur le point d’entrer sur le marché du travail », regrette le chef d’édition de Libération.
La Commission paritaire nationale de l’emploi des journalistes (CPNEJ) est chargée de l’élaboration du référentiel des attendus de la profession pour les écoles de journalisme. Dans le socle qu’elle a établi, le secrétariat de rédaction figure dans les fondamentaux du journalisme. Ce qui signifie que chaque école est tenue d’enseigner les principes de base qui permettront aux étudiants d’aborder les aspects techniques et d’acquérir les savoir-faire.
Une formation pas assez réaliste
Liberté pédagogique oblige, « les écoles sont libres d’interpréter comment on enseigne le secrétariat de rédaction », indique Pascal Guénée, président de la Conférence des écoles de journalisme (CEJ). Celle-ci réunit en son sein les quatorze écoles qui délivrent un cursus agréé, reconnu par la CPNEJ.
Le directeur de l’Institut pratique du journalisme (IPJ) considère que « l’approche du secrétariat de rédaction est un peu ancienne », mais qu’il y a « autant de façon d’enseigner le SR qu’il y a d’enseignants ». « Aujourd’hui, le critère d’évaluation de ces enseignements, c’est l’insertion professionnelle. Il est important pour nous d’être en accord avec les attentes des entreprises », souligne-t-il.
De nombreux étudiants considèrent néanmoins que l’enseignement du SR dans les établissements reconnus n’est « pas suffisant » ou « pas assez réaliste ».
« Je pense qu’à l’école de Cannes nous ne faisons pas partie des étudiants les mieux formés au SR. Ce qui m’a vraiment appris le métier, ce sont les quelques jours de formation au Progrès avant de d’intégrer ce quotidien en tant que secrétaire de rédaction durant un été […]. À l’école, nous avons eu des cours d’orthographe, puis des sessions professionnelles de journal école que nous avons dû mettre en page. Nous avons vraiment appris sur le tas […]. De manière générale, le SR est un peu sous-estimé et je trouve qu’on n’y est pas assez formé dans les écoles. »
« J’ai découvert pleinement le métier d’éditeur lors de mon premier contrat à La Croix. A l’école, on nous demande d’éditer des papiers sans nous expliquer comment le faire correctement […]. On ne nous explique pas que le travail de SR, c’est aussi vérifier les informations par exemple. Dans la titraille, les exergues, les intertitres, il faut essayer d’éviter les répétitions pour le lecteur qui va se contenter de lire ces seuls éléments. Ce sont des choses qu’on ne nous explique pas et qui fait que nous rendons des pages médiocres lors de nos premières expériences en rédaction. »
« Même si j’ai beaucoup aimé les cours de SR à l’école, ça n’est pas là que j’ai appris le métier. Pour moi il y a un manque de réalisme dans ce qu’on nous enseigne. Par exemple, il y a beaucoup de personnes qui font du SR en début de carrière pour se lancer dans la rédaction ensuite […]. C’est un métier à part entière, avec un vrai héritage, avec des anciens journalistes de terrain, des jeunes CDD, etc. Chez Ouest France par exemple, c’est un métier très valorisé. Mais ma cheffe a vraiment du mal à trouver du monde. »
Il y écrit que « cet homme de la synthèse me paraît aussi indispensable aujourd’hui à l’équilibre et à la qualité d’une publication qu’il l’était hier […] Chers confrères, allez de l’avant sans crainte ! Occupez la place ! Ne vous faites pas déloger de vos fonctions ! Faites en sorte que les journaux continuent d’être faits par des journalistes, et par de bons journalistes. C’est la garantie pour que perdure une presse écrite qui ne se sauvera que par sa qualité. »
Des mots qui, trente-cinq ans après, sonnent toujours aussi juste.
Pour aller plus loin, quelques références
- Blin, F. (2002). « Les secrétaires de rédaction et les éditeurs de Libération : Des journalistes spécialisés dans le journal. » Réseaux.
- Langonné, J. (2016). « Ceux qui ”font” le journal : journalistes secrétaires de rédaction et ouvriers typographes à l’interface de la matérialité de l’information en presse quotidienne régionale. » Sciences de l’information et de la communication. Université Rennes 1.
- Langonné, J. (2011). « Le goût des typographe à la une », communication au colloque du GIS journalisme « Le journalisme, une activité collective », Paris.
- Tanneguy de Wogan, E. (1899). Manuel des gens de lettres. Le journal, le livre, le théâtre. Firmin-Didot et Cie.
- Martin, M. (1997). Médias et journalistes de la République. Odile Jacob.
- Jamati, V. (1906). Pour devenir journaliste. Comment se rédige et s’administre un journal : mécanisme de la presse, principaux cas de reportage, législation. J. Victorion.
Amel Zaki
@amel_zki
24 ans.
Titulaire du master de l’EPJT, promo 2019-2021
Issue de La Chance
Passionnée par la littérature, les séries, le design éditorial.
Passée par La Nouvelle République du Centre-Ouest, L’Est républicain, Le Monde où elle a été en apprentissage pendant un an, Libération, etc.
Pigiste et secrétaire de rédaction.
Cette enquête représente son travail de fin de cursus à l’EPJT.